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Oléron : le projet de parc éolien en mer nécessite des précisions
Publié le 20/04/2017 17:21 | Mis à jour le 20/04/2017 18:06

La procédure préalable au lancement de l’appel d’offres pour le parc éolien en mer de l’île d’Oléron se poursuit. Appelée à se prononcer sur le document de consultation, la commission de régulation de l’énergie (Cre) demande des précisions.

L'avis de la Cre est favorable mais assorti de plusieurs observations sur le document de consultation rédigé par le ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer. La commission de régulation de l'énergie regrette le manque de précision sur la puissance du parc. Le niveau envisagé, d’au moins 500 MW, devrait être, selon elle, accompagné de l’indication d’une puissance maximale. Ce plafond permettrait aux candidats « de mettre en évidence les ressources financières adéquates au projet », écrit-elle.

La Cre appelle, aussi, le ministère à préciser les études de levée de risques (vents, environnementales, géophysiques) concernant la zone retenue pour Oléron qui seront mises à disposition des candidats par l’État. Elle recommande, par ailleurs, l’organisation d’une concertation sur le partage des risques entre les porteurs de projets et la puissance publique « avant le lancement d’une nouvelle procédure pour un projet de grande envergure ».

Pour le parc éolien de Dunkerque, un peu moins d’un mois s’était écoulé entre l’avis de la Cre et le lancement de l’appel d’offres.

Loïc FABRÈGUES

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Floatgen : Bourbon ancrera la première éolienne flottante française
Publié le 28/04/2017 13:50 | Mis à jour le 29/04/2017 08:23

L’École Centrale de Nantes, partenaire avec Ideol et Bouygues TP du projet européen Floatgen, vient de choisir Bourbon pour installer le système d’ancrage de ce qui sera la première éolienne offshore sur le territoire français.

La division Subsea services de Bourbon vient de signer le contrat. L'entreprise sera en charge de la gestion du projet, l’ingénierie et l’installation de l’ancrage, et fera intervenir des robots sous-marins et un navire Anchor handling tug supply (AHTS) pour le pré-tensionnement des lignes d’ancrage.

L’opération est un beau challenge puisqu’il s’agit d’un système d’ancrage semi-tendu inédit, avec six lignes en fibre nylon de plusieurs centaines de mètres chacune, des éléments de chaînes et connecteurs en acier forgé allié fabriqués par Le Béon Manufacturing. Le système sera installé à 33 mètres de profondeur.

L’installation sera réalisée cet été sur la plate-forme d’essais de démonstrateurs Sem-Rev qui est opérée par Centrale Nantes, à 22 kilomètres au large du Croisic. Les équipes d’Ideol, concepteur du flotteur en béton de Floatgen, et l’ingénierie de Bourbon travailleront ensemble sur la base d’une méthode définie conjointement.

L’éolienne flottante de 2 mégawatts, dont la construction du flotteur est en cours d’achèvement sur le port de Saint-Nazaire, sera installée et raccordée au réseau d’ici fin 2017.

En octobre 2011, Bourbon avait déjà ancré à 3 km d'Aguçadura, au nord de Leixoes, une éolienne flottante Vestas de 2 MW par 53 mètres de profondeur.

Véronique COUZINOU

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Adwen a achevé la construction de son prototype d’éolienne
Publié le 05/05/2017 17:20

Le fabricant d’éoliennes Adwen vient de terminer l’installation de son prototype de 8 MW sur le site de Bremerhaven, en Allemagne. Tout est donc désormais en place pour débuter les tests de la turbine destinée à équiper les parcs du Tréport, de Saint-Brieuc et de Yeu-Noirmoutier.

Cinq semaines après avoir annoncé être entré dans la phase finale du montage de son éolienne, Adwen, désormais au sein du groupe Siemens-Gamesa Renewable Energy, en a fini avec l’opération. Les trois premiers morceaux de mâts, en place le 30 mars, ont été surmontés de deux nouveaux tronçons puis de la nacelle.

La dernière opération a consisté à installer les pales de 88,40 mètres de long fabriquées par LM Wind Power, sur le moyeu central. Avec son rotor de 180 mètres de diamètre, le plus grand du monde, l’AD8-180 balaye une zone de plus de 25 000 m2, soit près de 25 terrains de football.

Loïc FABRÈGUES

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Les demandes d’autorisation du parc éolien de Vendée déposées

Publié le 10/05/2017 17:07

La société Éoliennes en mer îles d’Yeu et de Noirmoutier a déposé ses demandes d’autorisation pour l’exploitation du parc éolien offshore en projet au large de la Vendée.

Les documents ont été remis le 9 mai à la préfecture de Vendée. Une étape clé, moins de trois ans après la victoire de la proposition d’Engie, Energias de Portugal renovaveis et Neoen marine. Le consortium victorieux avait jusqu'à début juin pour faire sa demande de concession du domaine public maritime.

Éoliennes en mer îles d’Yeu et de Noirmoutier, la société qui porte le projet du consortium, vient de remettre l’étude d’impact qui quantifie l’effet de 62 éoliennes sur le milieu maritime. Elle attend une réponse de l’État d’ici 2018 et table sur une enquête publique d’ici à la fin 2017 « sous réserve de demandes de compléments d’informations qui pourraient retarder le délai », précise Rafael Tilot, directeur du projet. Le futur parc vendéen sera équipé d'un aérogénérateur de 8 MW pensé par la société Adwen.

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Les Pays-Bas inaugurent leur plus grand parc éolien en mer

Publié le 09/05/2017 18:41 | Mis à jour le 10/05/2017 07:21

Un peu moins d’un an après la pose de la dernière éolienne, le parc Gemini est, depuis lundi 8 mai, officiellement opérationnel. Avec ses 600 MW de puissance, il est l’un des plus grands parcs au monde et le plus important des Pays-Bas.

Distant de 85 kilomètres de la côte, au large de la province de Groningue, en mer du Nord, Gemini devrait produire, avec ses 150 éoliennes Siemens de 4 MW balayées par des vents de 36 km/h de moyenne, l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 1,5 million de personnes.

2.8 milliards d'euros

« En termes de réduction d’émission de CO2, Gemini représente l’équivalent de 50 000 voitures parcourant chacune 25 000 km par an », indique Northland Power, à la tête du consortium formé avec Siemens, Van Oord et HVC, pour porter le projet, d’un coût global de 2,8 milliards d’euros.

Basé dans le port d’Eemshaven, le centre de maintenance du parc devrait créer entre 75 et 100 emplois permanents. Pas moins de 25 banques domiciliées en Asie, en Australie, en Europe et en Amérique du Nord ont participé à son financement.

Loïc FABRÈGUES

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Éolien flottant : Ideol lève 8 millions d’euros
Publié le 07/06/2017 16:58 | Mis à jour le 07/06/2017 18:45

La société Ideol, basée à La Ciotat, vient d’ouvrir son capital à trois nouveaux actionnaires. Ce tour de table à 8 millions d’euros doit aider l’entreprise, spécialisée dans les fondations flottantes pour éoliennes, à « soutenir sa croissance et accélérer son développement à l’international », indique-t-elle.

Coordinateur du projet Floatgen qui doit se concrétiser d’ici la fin de l’année par la mise en service de la première éolienne en mer au large des côtes françaises, Ideol compte parmi ses nouveaux actionnaires la société allemande Siem offshore contractors (Soc).

Filiale du groupe norvégien Siem offshore, à la tête d’une flotte de 45 navires pour l’oil & gas, Soc s’affiche comme un spécialiste de la pose d’ancres, des câbles sous-marins ou encore de la maintenance pour les installations offshore.

Déjà partenaire d’Ideol, le groupe industriel japonais Hitachi Zosen entre lui aussi à son capital. Leur collaboration, initiée il y a deux ans, devrait, par ailleurs, aboutir en 2018 avec l’installation au Japon d’une première fondation flottante d’Ideol. Le groupe financier Amundi est le 3e partenaire d’Ideol dans cette levée de fonds.

Loïc FABRÈGUES

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Engie teste à terre les fondations de son futur parc éolien offshore
Publié le 19/06/2017 14:09 | Mis à jour le 19/06/2017 18:03

La société Éoliennes en mer Dieppe-Le Tréport (EMDT), pilotée par Engie, teste au milieu d’un champ de blé les fondations du futur parc offshore. Une démarche originale.

« Le sous-sol crayeux, avec une nappe phréatique à deux ou trois mètres, est très comparable à celui du futur parc. Notre but est de mieux comprendre le comportement mécanique de ce sous-sol », explique Henry Valibus, directeur technique d’EMDT.

Jusqu’à fin mai, la phase dynamique de ce chantier « de plusieurs millions d’euros » s’est effectuée avec le battage de 11 pieux métalliques et creux d’environ un mètre de diamètre à une profondeur de 7 à 20 mètres, à 10 km de Dieppe.

La seconde phase, dite statique et cyclique, consistera pendant quatre à cinq mois à appuyer ou à tirer (traction-compression) sur les pieux grâce à un système de vérins hydrauliques, le tout sous le contrôle de nombreux capteurs, y compris sonores durant le battage.

En fin d’année, les pieux seront sectionnés à moins d'un mètre et le terrain remis en parfait état à l’agriculteur propriétaire. À l’été 2018, une campagne géotechnique en mer sera réalisée sur 100 % des 62 points d’implantation des fondations. « Elle aurait dû se faire cette année, mais les recours intentés contre les projets rendent les donneurs d’ordre prudents », reconnaît Christophe Leblanc, directeur de développement du projet de parc offshore.

Richard GOASGUEN

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EMR : le système d’ancrage de Floatgen installé au Croisic
Publié le 27/07/2017 16:19

Les équipes de Bourbon subsea services viennent de poser en mer l’ancrage de la première éolienne flottante française pour le compte de l’École centrale de Nantes, maître d’œuvre du projet européen Floatgen.

L’éolienne sera installée d’ici la fin de l’année sur le site d’essais en mer Sem-Rev, au large du Croisic.

L’installation a notamment mobilisé un navire releveur d’ancre AHTS et un robot sous-marin. « Installer un système d’ancrage novateur devant satisfaire les conditions réelles d’exploitation de l’éolien flottant était l’un des challenges du projet Floatgen, explique Christian Berhault, directeur de la plateforme Sem-Rev à Centrale Nantes. C’est également la démonstration de l’utilité d’un site d’essais pour tester des briques technologiques innovantes, leur mise en œuvre et leur suivi d’exploitation. »

Prochaine étape : le flotteur de 36 mètres de côtés et presque 10 mètres de haut, conçu par Idéol et construit par Bouygues TP en béton autoplaçant, sera mis en flottaison la deuxième quinzaine d’août dans la forme Joubert, à Saint-Nazaire. Il reviendra ensuite en bord à quai pour que l’éolienne Vestas V80/2000 de 2 mégawatts y soit posée, avant d’être remorquée jusqu’au site Sem-Rev d’ici la fin de l’année, puis raccordée au réseau.

Véronique COUZINOU

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Elle a été déplacée hier matin
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EMR : la structure de Floatgen à flot à Saint-Nazaire
Publié le 24/08/2017 11:52

Opération réussie pour les équipes d’Ideol, de Centrale Nantes et de Bouygues Travaux Publics : le flotteur de béton de 36 mètres de côté et près de 10 mètres de haut de la première éolienne flottante française a été mis en flottaison mercredi 23 août, après avoir été remorqué dans la forme-écluse Joubert du port la veille.

Par un système de ballastage, les barges sur lesquelles le flotteur a été construit ont pu être désolidarisées de l’ouvrage. Au total, une cinquantaine de personnes a été mobilisée pour le bon déroulement de la manœuvre.

Mercredi, vers 18h, les deux remorqueurs-pousseurs néerlandais, l’En Avant 7 et l’En Avant 9 ont ramené le flotteur quai des Charbonniers.

D’ici quelques semaines, il accueillera une éolienne Vestas V80 de 2 mégawatts. La structure complète sera remorquée cet automne jusqu’au site Sem Rev, à 22 kilomètres au large du Croisic, ancrée et raccordée au réseau.

Floatgen sera le premier démonstrateur offshore testé sur cette plate-forme d’essai pilotée par Centrale Nantes. C’est aussi la première éolienne flottante au monde avec un flotteur béton en anneau carré, conçu par la start-up française Ideol. Cette dernière testera ensuite ce concept au Japon, à l’été 2018.

Véronique COUZINOU

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Installation de la pièce de transition

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Le tout premier parc éolien en mer a été démantelé
Publié le 06/09/2017 17:12 | Mis à jour le 07/09/2017 11:23

Il ne reste plus rien des onze éoliennes installées en 1991 au large des côtes danoises. Dong energy a annoncé, le 6 septembre, avoir achevé la déconstruction de Vindeby, le premier parc éolien offshore dans le monde.

Débuté en mars, le chantier, qui a compté jusqu’à 20 ouvriers, s’est étalé sur six mois. Une à une, les éoliennes ont été démantelées et ramenées à terre. Leurs composants doivent notamment servir de pièces de rechanges pour d’autres turbines. Une des éoliennes a été conservée pour être exposée au musée danois de l’énergie, à Bjerringbro.

D’un poids de 490 tonnes chacune, les fondations en béton ont, elles, été broyées sur place. Vindeby ayant été implanté dans des profondeurs entre 2 et 5 mètres, il a été possible de récupérer le matériau avec des pelles mécaniques pour le ramener ensuite au port de Nyborg. Plus de 4 kilomètres de câbles ont eux aussi été retirés.

Construit pour prouver la faisabilité d’un parc éolien en mer, Vindeby a produit 43 GWh d’électricité en plus de 25 ans de service. Une production équivalente devrait être atteinte en seulement 17 jours à Hornsea One. Lors de sa mise en service dans les eaux britanniques, en 2020, ce parc, porté par Dong energy, sera le plus important au monde avec 1 200 MW de puissance cumulée. Vindeby atteignait seulement 4,95 MW.

Loïc FABRÈGUES

vidéo

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L’éolienne Floatgen baptisée à Saint-Nazaire
Publié le 13/10/2017 17:18 | Mis à jour le 13/10/2017 22:12

Née d’un consortium européen porté par la startup Ideol, l’école Centrale Nantes et Bouygues travaux publics, Floatgen, première éolienne offshore française, a été inaugurée ce vendredi 13 octobre sur le port de Saint-Nazaire.

Sébastien Lecornu, secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition énergétique et solidaire, a estimé qu’ « avec Floatgen, nous avons la preuve que cette nouvelle filière est créatrice d’emplois pour les territoires ».

La construction du flotteur représente 70 emplois à temps plein pendant dix mois, « et 6 millions d’euros sont partis auprès d’entreprises régionales sous-traitantes », a souligné Nicolas Jestin (Bouygues TP). « L’éolien flottant a beaucoup d’atouts », a rappelé Paul de la Guérivière, pdg d’Ideol. « On n’a pas les contraintes de profondeur, on peut aller sur les sites les plus ventés, les travaux avant l’installation peuvent être réalisés dans un port, ce qui limite les risques et les coûts ».

Après quelques jours de tests à terre, Floatgen sera remorquée au large du Croisic sur le site d’essais en mer Sem-Rev, piloté par Centrale Nantes, puis raccordée au réseau.

Les dockers se sont invités

Une centaine de dockers essentiellement de la CGT et travailleurs portuaires sont venus dénoncer sans heurts « les conséquences sociales de la transition énergétique sur les emplois, notamment à la centrale EDF de Cordemais ». Pour eux, « la transition, c’est des éoliennes en mer à la place de notre travail ».

Sébastien Lecornu a indiqué que « la transition énergétique ne peut se faire sur le dos des salariés, mais de façon inclusive. En décembre, je détaillerai ce que seront les contrats de transition énergétique, et Cordemais aura le sien ».

Véronique COUZINOU

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et aussi
http://www.lemoniteur.fr/article/la-pre ... wanadoo.fr

EMR : le gouvernement s'engage à rattraper son retard
Par la rédaction, le 24 novembre 2017


A l’occasion des Assises de l’Économie de la mer, qui se sont tenues au Havre, le premier ministre, Édouard Philippe a rappelé "les milles restant à parcourir pour le développement des énergies de la mer", et exprimé la volonté du gouvernement de rattraper ce retard.
 
"Les énergies marines renouvelables, véritable atout pour notre pays, sont appelées à jouer un rôle fondamental dans la stratégie énergétique nationale et il est indispensable que la France accélère leur développement", a également rappelé Nicolas Hulot, ministre de la Transition Ecologique et Solidaire. Et d’ajouter : "les objectifs de transition énergétique ne pourront être tenus si les projets mettent 10 à 15 ans pour se développer après un appel d’offres. L’État va simplifier les procédures et mettre en place un permis enveloppe".
 
Nicolas Hulot a également confirmé le lancement prochain de l’appel d’offres pour l’éolien en mer posé sur la zone d’Oléron et s’est dit confiant quant aux résultats attendus pour l’appel d’offres de Dunkerque. Concernant l’éolien en mer flottant, des études préalables seront initiées dès 2018 en vue d’engager de futurs appels d’offres au large de la Bretagne et en Méditerranée.

https://www.constructioncayola.com/envi ... retard.php

Vidéo : installation des pièces de transition sur le parc éolien d’Arkona
Publié le 23/02/2018 14:52 | Mis à jour le 26/02/2018 12:25

Le 1er mars aura lieu, à Saint-Nazaire, la cérémonie de livraison de la sous-station électrique de STX France pour le parc éolien allemand d’Arkona. La compagnie néerlandaise Jumbo revient en images sur le chantier d’installation des pièces de transition.

Destiné à faire la liaison entre les fondations et les mâts d’éoliennes, chacun des cylindres mesure 16 mètres de haut pour un poids de 270 tonnes. Usinées par Bladt, à Aalborg, au Danemark, les pièces ont été amenées jusqu’au port de Mukran, dans la ville de Sassnitz, au bord de la mer Baltique, par voie maritime.

La mise en place des 60 pièces de transition, réalisée avec l’appui du Fairplayer, cargo de la Jumbo, s’est terminée le 17 janvier. La pose des éoliennes est programmée au troisième trimestre. La mise en service du parc de 385 mégawatts est prévue, elle, en 2019.

Loïc FABRÈGUES

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ur-le-parc

Départ dimanche 29/04 de l éolienne offshore de St Nazaire a l essai pendant deux ans:

Départ dimanche 29/04 de l éolienne offshore de St Nazaire a l essai pendant deux ans: