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Auteur: | bgmt [ 24 Aoû 2021 19h42 ] |
Sujet du message: | Saint Brieuc |
Trois emplacements (presque) forés dans le futur parc de Saint-Brieuc Anne KIESEL Trois emplacements de fondations ont été forés dans le futur parc éolien en mer de Saint-Brieuc, selon Ailes marines, en charge du projet. Une étude est par ailleurs en cours afin d’évaluer comment l’emplacement, sur lequel le forage avait dû être interrompu en juin après une fuite de liquide hydraulique, pourra être utilisé. Alors que les opposants assurent qu’aucun forage n’aurait abouti, parce qu’Ailes marines se heurterait à des roches très dures, la filiale d’Iberdrola assure que « Van Oord a réalisé, avec le navire « Aeolus », les forages de trois emplacements ». « Ils sont considérés comme les plus complexes du site. Neuf forages (NDLR : trois par emplacement d’éolienne) en tout ont été faits, jusqu’à 99 % sur certaines positions. » Le porteur du projet précise que les travaux se poursuivent sur une quatrième position, toujours au nord du parc. Une nouvelle étude nécessaire L’emplacement sur lequel le forage avait été interrompu le 14 juin après une fuite de 170 litres de liquide synthétique, suite à la défaillance d’une connexion hydraulique, pourrait quant à lui être déplacé. « Les stations pour lesquelles l’ensemble du processus forage et installation des pieux n’a pas pu être mené à son terme font l’objet d’une étude de réingénierie afin de pouvoir vérifier si elles peuvent être réutilisées, et selon quel procédé technique. Cela nécessite quelques semaines de travail pour différents services d’ingénierie et aussi pour les organismes certificateurs », indique Ailes marines. S’il n’est pas possible de réutiliser cet emplacement, « il est prévu dans le programme technique de pouvoir le modifier de quelques mètres par rapport à sa position initiale, précise le porteur de projet. C’est l’analyse des paramètres géotechniques enregistrés lors du forage qui permet de proposer le choix définitif de réutilisation de la position ou non. Cette analyse dite de « micrositting » se fait également en lien avec les experts des câbles électriques pour que les options soient compatibles avec les routes de câbles. » https://lemarin.ouest-france.fr/hebdo/2021-08-20 |
Auteur: | bgmt [ 07 Oct 2021 19h36 ] |
Sujet du message: | Saint Brieuc |
En Belgique, Eiffage et Equans préparent le futur parc éolien de Saint-Brieuc BRIGITTE DE WOLF | le 07/10/2021 La sous-station électrique offshore du futur parc éolien de Saint-Brieuc est actuellement en cours de construction à ciel ouvert à Hoboken près d’Anvers. Une fois achevée, elle sera transportée et installée comme prévu mi-2022. Les équipes de l’association momentanée Smulders (groupe Eiffage) et Equans s’affairent autour de l’imposante structure. Le groupe Eiffage s’occupe essentiellement de la partie métallique qui comprend les fondations et les structures de la plateforme, l’engineering, la production, l’installation et la mise en service, Equans est responsable de toute la partie électrique basse tension et des systèmes auxiliaires (éclairage, protection contre le feu, batteries pour assurer en permanence la sécurité de l’installation). Installation des transformateurs sur la sous-station électrique. Pour ce qui est de la partie moyenne tension et haute tension, les équipements sont fournis et intégrés sur la plateforme. Une fois l’assemblage de la fondation Jacket et de la sous-station finalisés, les deux éléments seront lentement descendus sur une barge qui les transportera vers le futur champ éolien dans la baie de Saint-Brieuc. La structure Dimensions: 53,55 m x 31 m x 21,5 (LxWxH) Poids: +/- 3400 tonnes Une visite à Hoboken où se poursuit la construction de la sous-station permet de se rendre compte de l’importance du chantier, de sa complexité mais aussi de l’attention toute particulière qui a été concentrée sur la sécurité, notamment avec le dédoublement de certains éléments pour éviter des fuites et des accidents éventuels. En cas de nécessité d’évacuation, une zone d’hélitreuillage est également prévue. https://www.lemoniteur.fr/article/en-be ... uc.2167777 |
Auteur: | bgmt [ 08 Oct 2021 19h26 ] |
Sujet du message: | Nantes St Nazaire |
Un quai dédié à l’éolien flottant en projet à Saint-Nazaire Véronique COUZINOU Le projet de quai réaménagé pour l’assemblage d’éoliennes flottantes sur le grand port maritime de Nantes - Saint-Nazaire se précise. Le projet doit être approuvé par le conseil de surveillance du grand port maritime début décembre. Les études techniques et environnementales pourront alors officiellement démarrer, puis le débat public. « L’objectif est de pouvoir lancer les travaux début 2024 pour une livraison deux ans plus tard », décrit Ludovic Bocquier, responsable du département énergies au port. Le quai, ouvert sur le large, au bout de l’actuel hub logistique EMR, sera allongé pour atteindre 500 mètres et pouvoir accueillir trois flotteurs d’une centaine de mètres chacun. « Vu le potentiel du flottant, c’est un projet d’intérêt national qui ancrera la place portuaire dans la transition énergétique », estime Olivier Trétout, président du directoire. Le renforcement du quai sera zoné (stockage, déchargement, assemblage), avec une portance entre 5 tonnes et au moins 30 tonnes au m2. « Il n’y aura pas d’emprise sur le plan d’eau, précise Omar Alaoui, chef de projet. Nous ne voulons pas gagner des mètres carrés mais avoir une infrastructure inédite en eaux profondes avec le minimum d’impact environnemental. » Maintenance, réparation et recyclage « Huit des dix candidats présélectionnés sur le cinquième appel d’offres pour l’éolien offshore nous ont contactés. Nous irons aussi voir ce qui se fait à l’étranger pour confronter nos idées et construire le meilleur schéma industriel », souligne Olivier Trétout. La maintenance, la réparation et le recyclage des éoliennes font aussi partie du projet. À terme, lorsqu’il n’y aura plus de trafic de charbon, le terminal dédié pourrait servir à la construction de flotteurs. https://lemarin.ouest-france.fr/hebdo/2 ... 9308e3897b |
Auteur: | bgmt [ 17 Oct 2021 12h42 ] |
Sujet du message: | Saint Nazaire |
Fin des livraisons pour les fondations du parc éolien de Saint-Nazaire Loïc FABRÈGUES L’armateur allemand Sal en a terminé avec la livraison des fondations monopieux et des pièces de transition pour le parc éolien en mer de Saint-Nazaire, porté par EDF Renouvelables et Enbridge. Débutées en février, les rotations opérées par le Svenja consistaient à charger le matériel à Rotterdam puis à l’acheminer jusqu’au port de La Rochelle où le déchargement était réalisé par Maritime Kuhn. Il aura fallu vingt voyages pour transporter les 80 fondations et autant de pièces de transition dont le contrat a été confié à Eiffage métal pour la construction et à Deme pour l’installation. https://www.youtube.com/watch?v=BMQ7bOSjTT4 Une commande dont Eiffage métal a sous-traité la fabrication des monopieux au néerlandais Sif, installé sur le port de Rotterdam. Smulders, filiale du groupe français, s’est occupé de son côté de compléter les pièces de transition à Hoboken, près d’Anvers, avant de les acheminer ensuite à Rotterdam. Peu après la mi-septembre, le navire Innovation du belge Deme avait réalisé l’installation de 28 fondations et de leurs pièces par lemarin du Vendredi 15 octobre 2021 |
Auteur: | bgmt [ 03 Avr 2022 21h44 ] |
Sujet du message: | Saint Nazaire |
Saint-Nazaire : Les premières éoliennes sur le point d’être installées Publié le 01/04/2022 Arrivé le jeudi 31 mars dans la forme-écluse Joubert du port de Saint-Nazaire, le navire jack-up Vole au vent de Sodraco, filiale de Jan de Nul, a commencé le 1er avril à charger le matériel nécessaire à l’installation des quatre premières éoliennes de 6 MW du premier champ offshore français. Le chargement des douze pales, des quatre nacelles et quatre mâts, hissés par la grue de 100 mètres de haut du navire, aura lieu tout au long du week-end pour un départ sur site a priori dimanche, à la marée de fin d’après-midi. « Il faut compter environ 24 heures pour effectuer les cinq levages nécessaires à l’installation d’une éolienne », précise Olivier de La Laurencie, directeur du projet chez EDF Renouvelables. Le navire de service (Sov) Acta Auriga prendra ensuite le relais avec à bord les équipes techniques, notamment de GE Renewable energy (80 personnes au total), pour effectuer les finitions mécaniques et les tests de mise en sécurité et en charge, en coordination avec la sous-station électrique du parc. Après cinq jours de tests de fiabilité, si tout est conforme, chaque éolienne sera considérée opérationnelle. « L’objectif est d’installer 15 éoliennes par mois », souligne Emmanuel Charlopain, chargé de projet chez GE. La première installée, la GO5, située au nord-est du champ de 80 machines, sera mise en service dans la deuxième quinzaine d’avril. Si le chantier peut attiser la curiosité, les industriels rappellent qu’aucun navire, pendant les travaux, n’est autorisé à approcher le périmètre du parc au-delà de 1 000 mètres, hormis les professionnels de la pêche qui bénéficient de couloirs de traversée. Véronique COUZINOU https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... ire-sur-le |
Auteur: | bgmt [ 03 Avr 2022 22h06 ] |
Sujet du message: | Fécamp |
Les fondations du parc de Fécamp dévoilent un chantier pharaonique Publié le 31/03/2022 Ni jacket ni monopieu, les 71 fondations des éoliennes offshore de 7 MW du parc éolien de Fécamp seront gravitaires. Leur construction, en cours au port du Havre, relève d’une organisation quasi industrielle. L’alignement est impressionnant. Sur quatre rangées, à raison de 17 à 18 unités en construction pour chacune d’elles, les 71 fondations gravitaires du futur parc éolien en mer de Fécamp s’élèvent peu à peu dans le ciel du port du Havre. La construction de ces géants de béton sur 26 hectares quai de Bougainville a débuté fin 2020 et doit se poursuivre jusqu’à l’été. Confié à Bouygues travaux publics à la tête d’un consortium avec Saipem et Boskalis, pour la fabrication, le transport et l’installation en mer de ces structures, ce chantier mobilise en moyenne 600 personnes. Coffreurs, terrassiers, ferrailleurs, logisticiens, peintres, les effectifs peuvent monter jusqu’à 1 000. « C’est un chantier unique au monde, relate Bruno Bensasson. Aucun parc n’a jamais nécessité autant de fondations gravitaires. » Le PDG d’EDF Renouvelables connaît bien le sujet. La filiale du groupe EDF, porteuse du projet de Fécamp avec WPD et EIH, coentreprise formée par Enbridge et CPP Investment, a été la première à les utiliser. D’abord en 2015 pour le mât de mesure de Fécamp, puis en 2017 pour les éoliennes du parc pilote de Blyth, au large des côtes anglaises du Northumberland. Deux réalisations sans commune mesure néanmoins avec le chantier actuel : une seule fondation a été nécessaire pour le mât. Il en a fallu tout au plus cinq pour le projet anglais. Face à cette commande exceptionnelle par son nombre et le court délai pour son exécution, la construction des fondations pour le parc normand a nécessité de déployer les grands moyens. « Cela ressemble plus à une organisation d’usine qu’à un chantier pour un ouvrage unique comme un pont », raconte Nicolas Jestin, directeur de production pour le parc éolien en mer de Fécamp chez Bouygues travaux publics. Seule différence avec une fabrication à la chaîne en usine, où le produit passe de poste en poste, ce sont les ateliers qui bougent sur les quais du Havre. Il n’aurait pas été raisonnable de vouloir déplacer ces monstres dont le poids final s’élève à 5 000 tonnes. Une organisation millimétrée Pour le génie civil, des équipes de six personnes, chacune attitrée à une partie de la construction, se relaient jour et nuit sur les quatre lignes de production pour fabriquer en parallèle ces fondations. L’outillage déployé est en conséquence. Dix-neuf grues à tour occupent les voies centrales du chantier et permettent de travailler sur les structures disposées de part et d’autre selon une organisation millimétrée. « Pour des raisons d’espacement, les 16 grues mobiles qui complètent le dispositif sont à flèche relevable », explique Nicolas Jestin. Ce choix d’engins de levage « peu conventionnels » permet d’en organiser le ballet sans risque de les accrocher. La construction des fondations, structures creuses destinées à être remplies de ballast une fois sur leur emplacement définitif, obéit à un plan précis qui commence par la réalisation du radier. Une dalle en béton armé classique mais dont les caractéristiques sont à la mesure du poids de la fondation qu’elle supporte. Ainsi, 810 m3 de béton, soit le contenu de 105 camions-toupies, sont nécessaires pour réaliser chacun des 71 radiers de 31 mètres de diamètre. Leur particularité est aussi d’être percée de sept trous pour laisser entrer l’eau lors de l’installation de la fondation en mer. Les fondations sont ensuite réalisées à partir de ce radier « en six levées », indique Nicolas Jestin. Chacune de ces pièces en béton, de 8 à 10 mètres de hauteur, coulées les unes sur les autres, répond à un moule spécifique. Dans les parties supérieures, l’un est percé de trous qui serviront d’évents pour chasser l’air lors de l’immersion. Si la première levée reste proche du plancher des vaches, la dernière, appelée top ring (lire page suivante), culmine entre 48 et 54 mètres de haut. « Il ne faut pas avoir le vertige », explique Djamel Zidane. Le chef d’équipe, qui affiche 20 ans d’expérience au compteur, avoue un chantier « assez compliqué » par ce travail en hauteur pour lequel les ouvriers sont équipés comme des alpinistes et descendent parfois en rappel. « Cela a nécessité un temps d’apprentissage qui nous a notamment permis de passer de 14 jours de construction par levée à dix », poursuit Djamel Zidane. À ce rythme, il faut environ six mois pour construire une fondation, où l’une des dernières opérations consiste à tendre à l’intérieur 18 câbles en acier à une tension de 400 tonnes pour en augmenter la résistance. Alors qu’une première unité a été achevée à la mi-février, l’installation en mer se prépare. Leur immersion est prévue pour débuter en juillet et s’étendre sur deux mois. « S’il n’y avait qu’un levage, on pourrait considérer cela comme un chantier standard, mais le nombre de fondations le rend unique », indique Frédéric Péchadre, responsable du projet chez Saipem. Sol Le choix des fondations gravitaires à Fécamp a été fait en raison de la dureté du sol. Trop difficile à pénétrer, il a été décidé de se poser dessus. Insertion À fin décembre, le chantier des fondations avait permis de fournir plus de 230 000 heures de travail à des personnes éloignées de l’emploi, soit un volume estimé à près de 120 emplois à temps plein. 2 Le nombre de centrales à béton mises en place par Lafarge du groupe Holcim à proximité du site pour fournir les 120 000 m3 nécessaires au chantier. La compagnie italienne dépêchera pour l’occasion son navire Saipem 7000 doté de deux grues de 7 000 tonnes chacune. Les structures seront d’abord amenées par barge, par lot de trois, depuis le quai du Havre jusqu’au navire. Trois unités, les Castoro XI, Saipem 44 et Saipem 45, seront dédiées à cette logistique. Les barges sont en cours de préparation en Turquie. De son côté, Boskalis a prévu de commencer ses opérations en mer au mois de mai. L’entreprise néerlandaise a pour mission de réaliser la couche d’assise sur laquelle viendra s’installer la fondation et assurera la stabilité de l’éolienne. Elle sera aussi en charge de remplir de ballast les fondations. La drague aspiratrice en marche Willem van Oranje réalisera ce travail. La fondation est équipée d’un cône en acier afin de fixer un flexible par lequel passera « le sable graveleux prévu pour servir de ballast », explique Jeroen Tazelaar, responsable de projets chez Boskalis. L’entreprise prévoit d’achever son chantier au mois d’octobre avec la mise en place des enrochements pour protéger de l’érosion le remblai d’assises. La mise en service du parc de 497 MW est prévue en 2023. Loïc FABRÈGUES LE TOP RING, UN ÉLÉMENT MAJEUR DES FONDATIONS À la différence des monopieux ou des jackets qui nécessitent d’installer une pièce de transition en acier sur la fondation pour faire le lien avec l’éolienne, les fondations gravitaires sont conçues dès leur origine avec ladite pièce. Dernière des six levées de la construction, le top ring est donc lui aussi fabriqué en béton. Afin de réaliser la connexion avec le mât de l’éolienne, la pièce comporte en son centre sur sa partie supérieure 108 barres filetées dont le calage doit être très précis. La tolérance est de seulement 4 mm. À l’intérieur du top ring se trouvent deux plateformes où sont installés les équipements électriques qui permettent d’exporter l’énergie de l’éolienne vers la sous-station électrique offshore. Des gaines, appelées J tubes, servent à passer les câbles électriques pour réaliser la connexion. Une échelle de coupée ou boat landing, installée à l’extérieur et accessible depuis un navire de service, permet aux techniciens d’atteindre la plateforme située en haut de la fondation puis d’entrer dans l’éolienne. Chaque top ring est équipé sur cette plateforme d’une petite grue pour monter le matériel nécessaire, pour la maintenance notamment. Au Havre, le déplacement des fondations gravitaires de leur emplacement de construction jusqu’à la barge nécessite d’installer quatre points d’accroche sur le radier. Ils serviront à deux grues portiques, placées de part et d’autre de la structure, d’en soulever les 5 000 tonnes, le temps de glisser dessous le chariot qui la transportera jusqu’au bateau. https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... n-chantier |
Auteur: | bgmt [ 10 Avr 2022 12h19 ] |
Sujet du message: | Saint Nazaire |
Et de deux qui font trois ! La flotte de CTV (crew tranfer vessels) pour l’éolien en mer d’Atlantique maritime services (AMS), filiale du groupe Lamanage Huchet Desmars (LHD) de Donges, s’est enrichie de deux nouvelles unités. Les JLD Lewis et JLD Laetitia ont rejoint le JLD Jayce acquis l’an dernier. Trois navires pour un seul modèle : le FCS (fast crew supplier) 26-10 de chez Damen de 26 mètres de long par 10 de large qui peut embarquer jusqu’à 12 passagers. Le travail a déjà commencé pour les deux navires. Le JLD Lewis assure pour le compte d’EDF Renouvelables les missions de surveillance sur le parc éolien en mer de Saint-Nazaire en compagnie du Furore G du néerlandais Groen. Le navire de 2011, sous pavillon de Jersey comme le JLD Jayce, a été acheté auprès du chantier naval britannique et fournisseur de services à l’éolien en mer Alicat. Le JLD Laetitia est utilisé « en lien avec les opérations de connexion des éoliennes par LDA Travocéan et Prysmian pour transporter le personnel depuis le « Wind of Pride » (NDLR : navire multiservice de Louis Dreyfus armateurs) ou depuis la terre jusqu’aux turbines », explique Rodolphe Bodineau, directeur adjoint chez AMS. De 2015, le bateau, sous pavillon britannique, a été acquis directement auprès de Damen. « Tous nos équipages sont français », souligne Rodolphe Bodineau qui avoue avoir du mal à trouver des marins formés. « Nous essayons de recruter au maximum dans l’oil & gas mais les procédures sont différentes avec celles de l’éolien », explique-t-il. Avec ses trois CTV, dont le JLD Laetitia qui est en train de passer à deux équipages, ce sont 30 marins à différents postes dont a besoin AMS. Loïc FABRÈGUES https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... uveaux-ctv |
Auteur: | bgmt [ 18 Avr 2022 12h20 ] |
Sujet du message: | Saint Nazaire |
Le montage de la première éolienne du parc de Saint-Nazaire achevée Véronique COUZINOU Le navire jack-up Vole au Vent, parti le mercredi 6 avril du port de Saint-Nazaire avec les éléments des quatre premières éoliennes du futur champ en mer, a achevé le mercredi 13 avril au matin le montage de la toute première machine, numérotée G05 sur le plan du parc, à 12 km au large. L’opération de levage a pris un peu plus de temps que prévu en raison du vent qui a soufflé par intermittence, parfois très fortement, les derniers jours. Le mât a été dressé durant le week-end précédent, puis la nacelle et les trois pales ensuite. Après la pose de la troisième pâle, le Vole au Vent a rejoint la deuxième fondation, tandis que les équipes de GE, à bord de l’Acta Auriga, effectuent depuis les montages électriques et techniques, puis réaliseront les essais de la première éolienne. Sa mise en service devrait avoir lieu d’ici la fin de la semaine prochaine. « L’installation d’une éolienne, selon les conditions météorologiques, prend environ 24 heures, de sorte que chaque voyage d’installation prendra environ cinq jours », précise dans un communiqué Jan de Nul, chargé de la pose des éoliennes du parc. Le montage de la toute dernière éolienne est prévu pour l’automne. https://lemarin.ouest-france.fr/hebdo/2 ... 4c906660dc |
Auteur: | bgmt [ 18 Avr 2022 18h53 ] |
Sujet du message: | Fécamp |
Les premières installations en mer du parc éolien de Fécamp en place Publié le 15/04/2022 19:09 | Mis à jour le 15/04/2022 19:45 Les quatre pieux qui accueilleront la fondation de la sous-station électrique du parc éolien en Fécamp ont été installés, selon le site internet du projet le 13 avril. Plusieurs navires ont été mobilisés pour cette opération. Parmi eux, le Sea Installer de Deme, chargé de l’installation proprement dite, a été soutenu par le TSM Penzer de TSM et le Roxane Z de Jifmar, qui ont aussi été utilisés pour « surveiller le niveau sonore et s’assurer de l’absence de mammifères marins à proximité ». Le World 3 a quant à lui « maintenu une veille sur site pour éloigner et protéger toute embarcation non impliquée dans ces opérations ». Propriété du danois World marine offshore (WMO), il opérait pour le compte de 22 Offshore, la coentreprise qu’il avait formé avec Jifmar en septembre 2020 pour servir l’éolien en mer français. https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -eolien-de |
Auteur: | bgmt [ 30 Avr 2022 12h50 ] |
Sujet du message: | Saint Brieuc |
Fred Olsen arrive en France avec la pose des éoliennes de Saint-Brieuc Publié le 25/04/2022 Siemens Gamesa a choisi Fred Olsen windcarrier (Fowic) pour le transport et l’installation en mer des éoliennes du parc de Saint-Brieuc. La filiale spécialisée dans l’éolien offshore du groupe norvégien Fred Olsen remporte là son premier contrat en France. La société, qui compte trois navires de pose, les Bold Tern, Brave Tern et Blue Tern, prévoit de mobiliser un de ces trois jack-up pour mener à bien le chantier à partir du printemps 2023. Le parc, porté par Ailes marines, filiale d’Iberdrola, comprendra au total 62 éoliennes de 8 MW dont la fabrication des nacelles et des pales de 81,40 mètres de long sera réalisée dans l’usine de Siemens Gamesa au Havre. « De par leur expérience, leur personnel expérimenté et leur flotte spécialisée, nous savons pouvoir compter sur un partenaire fiable et efficace », a commenté Filippo Cimitan, le directeur général de Siemens Gamesa France. Le contrat, qui fait partie du carnet de commandes de 355 millions d’euros annoncé par Fowic début janvier « continuera à renforcer notre relation avec Siemens Gamesa », s’est réjoui, de son côté, Petter Faye Søyland, chef de projet chez Fowic. Les deux entreprises ont collaboré sur plusieurs parcs éoliens en mer ces dernières années en Europe mais aussi en Asie avec le projet de Yunlin à Taiwan. « Nous sommes impatients de travailler avec les partenaires et les fournisseurs locaux sur ce projet de Saint-Brieuc », a souligné Petter Faye Søyland. Loïc FABRÈGUES https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... liennes-de |
Auteur: | bgmt [ 28 Mai 2022 12h55 ] |
Sujet du message: | Fécamp |
Le jacket pour le parc éolien en mer de Fécamp en escale au port de Brest Publié le 23/05/2022 Un convoi exceptionnel de 200 mètres de long et 60 de haut a franchi le 20 mai le goulet en direction du port de Brest. Composé du remorqueur Fairplay 34, de deux remorqueurs portuaires et d’une barge, il a fait escale au poste 5e ouest pour une opération de maintenance. Sur la barge Stralsund du groupe belge Deme se trouve la fondation jacket d’environ 1 200 tonnes pour la sous-station électrique du parc éolien en mer de Fécamp. La structure est en provenance de Ravenne, en Italie, où elle a été construite par Rosetti Marino pour le compte des Chantiers de l’Atlantique. Une fois réparée l’avarie de treuil de remorque qui a touché le Fairplay 34, navire de la compagnie Fairplay towage basée à Hambourg, le convoi doit reprendre sa route vers le port de Cherbourg. La sous-station électrique dont la construction a débuté en 2020 aux Chantiers de l’Atlantique doit être installée en mer dans le courant de l’année. Les pieux pour accueillir la fondation jacket sont en place depuis la mi-avril. https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -en-escale |
Auteur: | bgmt [ 03 Juin 2022 21h29 ] |
Sujet du message: | Courseulles |
Une armada pour le raccordement électrique du parc de Courseulles Publié le 30/05/2022 Une vingtaine de navires et près de 150 personnes en mer ont été mobilisés entre les 21 et 23 mai pour dérouler le premier des deux câbles haute tension devant relier la future sous-station électrique du parc éolien de Courseulles au réseau terrestre. Une telle armada, qui n’avait jamais été déployée en France par le maître d’ouvrage Réseau de transport d’électricité (RTE) s’explique par les faibles fonds, obligeant le navire câblier Cable Entreprise de Prysmian à se tenir à une distance de 3,2 km du point d’atterrage de Bernières-sur-Mer. Les deux conduites devant recevoir les câbles y ont déjà été installées par Eiffage travaux maritimes. « Non seulement cette distance est inédite mais le câble qui intègre de la fibre optique doit effectuer une courbe. Pour cette opération délicate avec 1 800 tonnes de câble en suspension à dérouler au rythme de 3 mètres par minute en prenant appui sur des bouées guide, il nous fallait un coefficient de marée inférieur à 80 et une absence de vents durant trois jours consécutifs », explique Jacques Frémaux, directeur du projet de Courseulles-sur-Mer pour RTE. La même opération doit se répéter pour le second câble, à partir du 7 juin, après les cérémonies du 6 juin, Bernières-sur-Mer faisant partie des plages du Débarquement. Après Fécamp raccordé en octobre, Courseulles est le second chantier éolien de RTE en Normandie. « Quand Dieppe-Le Tréport et les deux parcs plus éloignés de la Manche centrale seront raccordés, l’éolien offshore en Normandie représentera une puissance de 4 000 MW. C’est 10 % de l’ambition française dans l’éolien offshore en 2050, rappelle Nathalie Lemaitre, déléguée régionale RTE Normandie et Île-de-France. C’est aussi la puissance électrique produite en Normandie en cette journée du 21 mai, tous modes de production confondus. » Frédérick AUVRAY https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... arc-eolien |
Auteur: | bgmt [ 03 Juin 2022 21h33 ] |
Sujet du message: | Saint Nazaire |
Les fondations sont installées sur le parc éolien en mer de Saint-Nazaire Publié le 31/05/2022 Deme offshore et Eiffage métal en ont terminé avec la pose des 80 fondations monopieux du parc éolien en mer de Saint-Nazaire. La première avait été installée en mai 2021. Le chantier, réalisé par le navire jack-up Innovation de Deme, a nécessité de déployer un outillage particulier. Compte-tenu de la nature rocheuse du sol, il a fallu forer pour installer les monopieux, implantés d’ordinaire par battage. Un foret sous-marin de 350 tonnes a donc été spécialement conçu par Deme avec son partenaire Herrenknecht, parmi les leaders mondiaux des tunneliers, pour réaliser les travaux. Autre outil unique déployé par Deme sur le chantier : le Modiga conçu et développé avec le néerlandais TMS, « qui culmine à 60 mètres de haut et encapsule les opérations de forage et d’installation, les protégeant des conditions maritimes difficiles de l’Atlantique », explique Deme. « Le déploiement de cet équipement inédit nous a permis d’achever l’installation bien avant la date prévue », se félicite Bart de Poorter, directeur général de Deme offshore. Les opérations d’installation ont notamment pu se poursuivre tout au long de la saison hivernale. https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... ien-en-mer |
Auteur: | bgmt [ 03 Juin 2022 21h36 ] |
Sujet du message: | Fécamp |
Le chargement des fondations pour le parc éolien de Fécamp se prépare Publié le 01/06/2022 18:27 | Mis à jour le 01/06/2022 18:47 Le départ du port du Havre des géants de béton qui serviront de fondations aux éoliennes en mer du parc de Fécamp n’a pas encore sonné. Cependant, le consortium mené par Bouygues travaux publics avec Saipem et Boskalis en charge de leur construction et de leur installation s’y prépare. Alors que les travaux de génie civil sont désormais terminés pour l’ensemble des 71 fondations gravitaires, deux portiques viennent d’être installés sur le quai de Bougainville par la société Sarens. En se positionnant de part et d’autre de ces pyramides de béton, leur mission sera d’en soulever les 5 000 tonnes afin d’y glisser en dessous un chariot multi-roues. Quatre anneaux de levage sont pris dans le radier de chaque fondation pour effectuer l’opération. Deux des trois barges sur lesquelles seront amenées les fondations avec le chariot multi-roues, pour leur transport jusqu’au site du parc éolien en mer, sont aussi aujourd’hui à quai au port du Havre. La Castoro XI et la S 45 de Saipem affichent respectivement 150 et 180 mètres de long. La barge manquante est normalement la S 44. Les trois unités emporteront trois par trois les fondations jusqu’au Saipem 7000 prévu pour leur installation en mer. Le navire, qui avait été victime d’un accident de grue, est de nouveau en activité. Selon son AIS, il se trouve sur le parc Seagreen 1 au large de l’Écosse où il doit installer les fondations jacket. Boskalis, qui doit réaliser sur le parc de Fécamp la couche d’assise en vue d’y poser les fondations, annonce de son côté un « départ imminent » du Rockpiper pour réaliser les travaux. Loïc FABRÈGUES https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -de-fecamp |
Auteur: | bgmt [ 14 Juin 2022 17h20 ] |
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Les pièces construites à Brest dans les ateliers de Navantia-Windar et chez des sous-traitants bretons arrivent en kit à Fene sur un quai dédié. (Photo : Léa Charron) Les pièces constituant les parties basse et haute des fondations sont ensuite sablées puis celles de la partie haute peintes afin de la protéger de la corrosion. Celles de la partie basse seront protégées par des anodes sacrificielles situées sur les jambes et entretoisements . « La position des fondations prêtes à partir sur le port est stratégique : il y a près de 1 200 tonnes à lever », explique Carla Chawla Fidalgo, responsable du projet éolien en baie de Saint-Brieuc chez Navantia. Le site dispose de ce portique vert de 800 tonnes et surtout d’une grue sur chenilles de 1 600 tonnes pour le montage final des fondations, soit la pose de la partie haute de la jacket sur la partie basse. « Une opération de levage délicate qui nécessite le déploiement de grands moyens, pas réalisable à Brest », où le quai pour les colis lourds est toujours en travaux, explique Tanguy Cariou. Le chantier, situé sur la rive sud de la ria de Ferrol en Galice, dispose d’une grue sur chenilles de 1 600 tonnes pour le montage final des fondations. Une trentaine étaient déjà prêtes fin avril. (Photo : Léa Charron) À l’heure des premiers convois vers Saint-Brieuc et de la fin du chantier, Navantia ne révèle pas encore quels pourraient être ses futurs projets, mais « l’idée est qu’un projet succède à un autre », assure Tanguy Cariou. Stéphane Riou, pour Ailes marines, précise : « L’enjeu, maintenant que la filière se structure dans un cadre européen, avec une véritable plus-value pour les territoires impliqués et un personnel recruté et formé en ce sens, c’est de maintenir un bon portefeuille de commandes. » Les regards se tournent surtout vers le site brestois de Navantia, alors que le bail de l’industriel espagnol sur le polder court jusqu’en 2026. Léa CHARRON BIENTÔT DES MONOPIEUX XXL FABRIQUÉS Le site industriel de Fene, encore petite menuiserie de 30 ouvriers répartis sur 3 000 m2 dans les années 1940, a accumulé une large expérience dans le secteur naval après l’arrivée d’Astano en 1987. Restructuré par Navantia pour la fabrication de fondations fixes et flottantes, de monopieux et de sous-stations, il pourra bientôt construire des fondations encore plus importantes, l’autorité portuaire ayant approuvé début avril le projet de fabrication de monopieux XXL pour Iberdrola et, de fait, l’extension du site. Le groupe espagnol aux 38 000 salariés répartis à travers le monde, fort « déjà de onze projets menés dans cinq pays », a rappelé Carla Chawla pendant la visite, compte poursuivre sa reconversion vers les énergies renouvelables sur le marché de la production d’hydrogène. L’entreprise, qui vient de lancer pour cela sa nouvelle marque Seanergy, a aussi annoncé le lancement d’une filiale au Royaume-Uni. https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -eolien-de |
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