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 Sujet du message: Komatsu HD785-7
MessagePosté: 12 Sep 2015 11h24 
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Bonjour,
Un dumper KOMATSU HD785-7 est arrivé a la carrière de FERQUES.
cordialement.


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MessagePosté: 12 Sep 2015 14h22 
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Ferriques c'est la Vallée heureuse no ?


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MessagePosté: 12 Sep 2015 16h58 
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non , la carrière de la vallée heureuse est a RINXENT, cela n'a rien a voir avec les carrières du boulonnais.
voici le lien pour les carrières du boulonnais
http://www.lesgranulatsdugroupecb.com/q ... antations/
cordialement.


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MessagePosté: 12 Sep 2015 17h58 
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Ah Oui exact quand tu le dis .

Il y a tellement de carrière collées dans ce coin ..


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 Sujet du message: digue de Sangatte
MessagePosté: 19 Jan 2017 12h37 
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Calais : la digue de Sangatte se reconstruit
Par la rédaction, le 16 janvier 2017

Dans la région de Calais, la reconstruction de la digue de Sangatte a débuté. Le chantier de consolidation a été confié aux Carrières du Boulonnais qui fournissent les enrochements nécessaires.

Selon les informations de La Voix du Nord, les camions des Carrières du Boulonnais acheminent environ 1 000 t d’enrochements par jour. En attendant de débuter les travaux côté plage, la municipalité s’interroge sur la pertinence de construire un parking de 50 à 90 places en lieu et place de la base vie, une fois le chantier achevé.
 
Ce dernier s’étalera sur 10 mois. Il portera sur la construction d’une nouvelle digue, qui doit remplacer l’actuelle, passablement endommagée. L’ouvrage de 2,4 km, surélevé de 80 cm, sera installé entre le radar et la Descenderie; il aura pour mission de protéger 12 000 à 13 000 personnes. En parallèle, 19 épis de pieux perpendiculaires la côte seront seront remplacés et 3 nouveaux épis (deux de 80 m  et un de 40 m) seront mis en oeuvre au niveau de la Descenderie. Deux épis parallèles à la côte de 150 m seront par ailleurs créés.
 
Coût total du chantier : 19 M€. 
http://www.constructioncayola.com/infra ... res_170119


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MessagePosté: 19 Jan 2017 13h14 
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Qui a eut le marché ?


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MessagePosté: 03 Fév 2017 14h12 
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EPV/EPP avec la SPIE, chantier actuellement en cours. :D


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MessagePosté: 10 Fév 2017 13h32 
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Groupe Carrières du Boulonnais : bilan 2016, perspectives 2017
Par C. P., le 10 février 2017

Le groupe Carrières du Boulonnais travaille actuellement pour l’un des plus gros chantiers portuaires en Europe de ces 10 dernières années : le port de Calais. Les travaux ont pour objectif d’adapter la capacité de l’infrastructure, aujourd’hui insuffisante, aux nouvelles données du trafic maritime.

Le groupe Carrières du Boulonnais travaille actuellement pour l’un des plus gros chantiers portuaires en Europe de ces 10 dernières années : le port de Calais. Les travaux ont pour objectif d’adapter la capacité de l’infrastructure, aujourd’hui insuffisante, aux nouvelles données du trafic maritime. Le groupe CB a obtenu le marché dans le cadre d’un groupement : il livrera sur les 3 années de chantier 42% du volume total contractualisé. Le tout-venant provient d’abattage (0 à 700 kg), les enrochements peuvent aller de 300 kg à 6 tonnes, et des coupures bétons sont également fournies. Mais le groupe CB a une autre actualité : ses équipes vont participer au chantier de renforcement de la digue de Sangatte. Sur une durée d’environ 10 mois, le carrier devra fournir des enrochements de 2 à 4 tonnes et de 200 à 400 kg.

Chiffre d’affaires :
2015 : 100 millions d’euros
2016 : 110 millions d’euros

Volume de production :
2015 : 6,5 millions de tonnes
2016 : 7,3 millions de tonnes

Effectifs :
2015 : 258
2016 : 278

Sites d’exploitation :
2015 : 8
2016 : 10

http://www.constructioncayola.com/carri ... res_170210


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MessagePosté: 07 Oct 2018 21h34 
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Granulats marins : CBD voit grand à Boulogne
Publié le 27/06/2016

ImageCBD par lemarin by bgmt17, sur Flickr

En six mois, le port de commerce de Boulogne a déjà réalisé son tonnage total de 2015 grâce à l’implantation de la plateforme de stockage et de transit de granulats marins de CBD (Carrières du Boulonnais et Deme). CBD a inauguré le vendredi 24 juin cette installation située quai de l’Europe, entrée en fonction il y a un an.

CBD a été créée par le groupe Carrières du Boulonnais, propriétaire exploitant dans le pays de Marquise du plus grand bassin carrier de France, et par Deme Building Materials, filiale du groupe Deme (4 600 salariés dans le monde), devenu le n°1 de l'Union européenne dans le domaine du dragage en mer au lendemain du Brexit.

CBD commercialise des sables marins mais produit aussi désormais directement sur le quai des sables concassés et des gravillons, à partir du tout-venant marin extrait dans l'estuaire de la Tamise, au large de la Belgique ou en Manche. Car, explique Tom Janssens (Deme), « la réduction des ressources de granulats d'origine terrestre fait de la solution marine une alternative durable et innovante, surtout dans les régions côtières ».

Son objectif est un trafic annuel de 600 000 tonnes. Deux navires-dragues, le Charlemagne et le Victor Horta (de l’armateur suédois Atob), d'une capacité de 10 000 tonnes, débarquent régulièrement à Boulogne sables et graviers, dragués et asséchés durant leur transport.

En six mois, CBD a importé 68 000 tonnes de granulats marins à destination des bétonniers locaux, mais aussi exporté 215 000 tonnes de pierre à chaux pour la sidérurgie scandinave et 5 000 tonnes d’enrochements vers l’Angleterre.


http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... d-boulogne


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MessagePosté: 08 Sep 2019 21h45 
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Le groupe Carrières du Boulonnais accélère dans le ferroviaire et le fluvial
Actu-Transport-Logistique.fr | Ferroviaire | publié le : 04.09.2019


L'un des 34 à 35 trains expédiés par semaine au départ de la carrière de Ferques. La production de cette carrière atteint 7 millions de tonnes depuis deux ans.
Crédit photo OC
Afin de faire face à l’augmentation des tonnages de granulats transportés par le rail, le groupe CB (Carrières du Boulonnais) investit dans deux de ses installations du Nord de la France et de l’Ile-de-France. Des développements sont également prévus dans la voie d’eau.
C'est un véritable poids lourd du fret ferroviaire qui accroît sa présence tant dans le Nord qu’en Ile-de-France. Exploitant à Ferques, dans le Pas-de-Calais, la plus importante carrière de France (7 millions de tonnes par an), le groupe Carrières du Boulonnais (CB) assure à lui seul, en effet, désormais 25 % du fret ferroviaire de granulats en France. Cette part n’était que de 15 % en 2013.
Une quatrième plateforme ferroviaire
Détonateurs de cette croissance exponentielle des tonnages remis au rail, les chantiers du Grand Paris au sens large nécessitent aujourd’hui d’importants investissements dont certains sont déjà en cours d’achèvement.
Le premier figurant au calendrier est celui d’Emerainville (Seine-et-Marne) où une nouvelle installation terminale embranchée (ITE) est devenue opérationnelle au cours de la troisième semaine d’août 2019. Au terme d’un investissement légèrement supérieur à 3,5 millions d’euros (M€), cette infrastructure comprend deux voies de déchargement à même de recevoir des convois de 400 mètres de long chargés à 1 500 tonnes nettes.
En régime de croisière, cette plateforme verra passer un trafic de 300 000 onnes par an. Elle s’ajoutera, ainsi, au réseau actuel de plateformes situées à Mitry-Mory (1,1 million de tonnes par an), Limay (500 000 tonnes) et Rieux (150 000 tonnes).
Nouveau terminal ferroviaire à Ferques
Mais c’est incontestablement à Ferques, près de Boulogne-sur-Mer, que les plus gros investissements seront réalisés. Car il s’agit de construire un nouveau terminal ferroviaire, lequel permettra de faire passer les tonnages remis au rail de 2,5 millions de tonnes par an à 4 millions de tonnes. Il comprendra 6 voies de 800 mètres de longueur. Surtout, il sera innovant. Il sera, en effet, équipé de robots de traction électriques asservis aux tapis de chargement. Il en résultera des gains de temps sur le chargement des rames de l’ordre de 30 à 40 % par rapport à la situation actuelle.
Commentant cet investissement de 10,5 M€ qui deviendra opérationnel à l’été 2020, Pierre Proy, directeur général de la filière granulats du groupe CB, explique que "nous faisons là un double pari : celui de diminuer le nombre de camions circulant sur de longues distances, de l’ordre de 200 à 250 km, et de réduire significativement la part du camion sur les distances inférieures à 100 km, ceci à une échéance de 5 à 10 ans. La capacité de chargement du nouveau terminal qui sera, à terme, d’environ 50 trains par semaine au lieu des 35 actuels, nous offrira donc cette possibilité;"
Recours accru au fluvial également
Si le groupe CB n’exclut pas d’équiper d’autres sites d’extraction d’ITE tel que celui de Maubeuge, il entend aussi faire de la voie d’eau l’un de ses chevaux de bataille pour limiter l’usage de la route. Deux de ses quatre installations embranchées étant déjà trimodales, il va donc pouvoir supprimer une rupture de charge à Limay, près de Mantes-la-Jolie, à partir de 2020.
"Nous allons, en effet, mettre en place un tapis transporteur de 500 m de longueur qui fera la jonction entre notre plateforme ferroviaire et notre quai de chargement de péniches / barges. L’investissement sera de l’ordre d’un million d’euros et permettra d’optimiser le transbordement fer/fluvial qui représente 70 à 80 % du trafic de la plateforme", ajoute le dirigeant. C’est un projet identique qui sera mis en œuvre à Rieux, près de Creil.
L’échéance de réalisation est, toutefois, plus lointaine, puisqu’elle se situe à un horizon de 3 à 4 ans. Ses tonnages devraient, dans le même temps, être doublés.

https://www.actu-transport-logistique.f ... 521765.php


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MessagePosté: 12 Déc 2019 23h25 
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Les Carrières du Boulonnais face aux conséquences de la grève
Actu-Transport-Logistique.fr | Ferroviaire | publié le : 11.12.2019

Pour avoir largement anticipé ces derniers mois, le groupe Carrières du Boulonnais est, pour le moment, en mesure de résister aux effets de la grève qui paralyse actuellement ses acheminements par le rail. Mais cette situation ne pourra pas aller au-delà du 6 janvier, date à laquelle les camions pourraient entrer en scène.
Véritable poids lourd du fret ferroviaire puisqu’assurant à lui seul près de 30 % du fret ferroviaire de granulats en France, le groupe Carrières du Boulonnais (CB) peut se féliciter d’avoir pris des mesures préventives pour contrecarrer les effets de la grève des cheminots.
Il avait, en effet, largement anticipé le mouvement en massifiant les envois vers les quatre plateformes parisiennes au cours des deux derniers mois. Tant et si bien que ce ne sont pas moins de 150 000 tonnes de matériaux qui sont disponibles pour les chantiers du Grand Paris, là où habituellement il n’y en a que 90 000 tonnes.

Plus grave blocus à ce jour
Mais ces réserves sont appelées à décroître rapidement car depuis l’arrêt de la circulation des trains de fret intervenu le 4 décembre , pas un des vingt-cinq trains sortant de l’immense carrière de Ferques, dans le Pas-de-Calais, n’a pu être acheminé vers la Région Parisienne et Dunkerque.
"S’agissant de nos expéditions par le rail, c’est le plus grave blocus que nous ayons subi à ce jour. En trois à quatre mois de perturbations au printemps 2018, nous avions pu sauver l’équivalent de 44 trains chargés à 1 500 tonnes. Là, rien", se désole Vincent Amossé, directeur général adjoint de la filière granulats du groupe CB. Avant d’ajouter que ce blocus, pour lequel la cellule mise en place par SNCF ne peut rien, "est provoqué par l’encombrement des voies par des rames voyageurs ou fret vides bloquées et par le nombre insuffisant d’agents au sol présents à leur poste."
Pour l’heure, cet arrêt des expéditions par le rail n’a aucune incidence sur le niveau de production de la carrière de Ferques de 7 millions de tonnes par an. Cette installation sera d’ailleurs arrêtée la dernière semaine de 2019 et la première de 2020 pour maintenance.

L’échéance du 6 janvier 2020
Mais c’est finalement à partir du 6 janvier 2020 que la situation deviendra critique pour le groupe CB. C’est en effet à partir de cette date que le recours aux camions deviendra indispensable pour alimenter à la fois les plateformes parisiennes, soit l’équivalent de 6 trains par jour, et Arcelor Dunkerque, 2 trains quotidiens chargés à 2 800 tonnes. Cela représentera un surcoût de 10 000 euros environ par train remplacé, lequel montant sera entièrement à la charge du groupe. "Nous ne sommes pas sûrs, en outre, de trouver les camions de 30 tonnes de charge utile qu’il nous faudra alors compte tenu de l’absence d’un flux retour", poursuit Vincent Amossé.
Sans surprise donc, ce dernier est "tout à fait favorable, dès maintenant, à l’instauration d’un service minimum pour le fret à l’instar de ce qui est déjà en place pour le secteur voyageurs." Cette position est, d’ailleurs, défendue par le Groupement national des transports combinés (GNTC).

Des conséquences d’un report modal à l’envers
Ce report modal à l’envers, s’il se produit, aura des conséquences majeures. Il faudra, alors, au moins quatre mois au groupe CB pour reconstituer les stocks. Certaines centrales à béton alimentant les chantiers du Grand Paris pourraient, en outre, se retrouver à court de matériaux.
La situation du groupe CB, partagée avec celle des coopératives - pour ne citer que ce seul exemple - illustre malheureusement une fois de plus le peu de cas qui est fait des conséquences résultant des mouvements sociaux sur le fret ferroviaire.

https://www.actu-transport-logistique.f ... 544426.php


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