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Sablières et gravières
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Auteur:  bgmt [ 04 Nov 2015 16h31 ]
Sujet du message:  l' Hondarra

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Auteur:  BASCO - LANDAIS [ 04 Nov 2015 17h23 ]
Sujet du message: 

Cette drague, desormais en service, apres essais, a été baptisée la semaine dernière par Anne-Sophie Lapix, enfant du pays basque :petard:

Auteur:  bgmt [ 07 Nov 2015 14h00 ]
Sujet du message: 

pour BASO - LANDAIS, et les autres aussi:

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... e-hondarra

Auteur:  BASCO - LANDAIS [ 07 Nov 2015 15h18 ]
Sujet du message: 

bgmt a écrit:
pour BASO - LANDAIS, et les autres aussi:

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... e-hondarra


j'étais invité à cette inauguration :mdr: et kj'ai eu plaisir à y assister et à retrouver des ami(e)s :oui:

Je devrais (théoriquement) passer une journée "on board" :wink:

Auteur:  bgmt [ 01 Déc 2015 17h24 ]
Sujet du message: 

dans la presse de novembre

http://www.fichier-pdf.fr/2015/12/01/sab-novembre-2015/

Auteur:  bgmt [ 13 Jan 2016 10h50 ]
Sujet du message:  CAN / Lafarge Granulats Ouest

dans la presse de décembre

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Auteur:  bgmt [ 01 Avr 2017 14h28 ]
Sujet du message:  Leonhart

Le groupe Leonhart se bat pour le transport fluvial
Actu-Transport-Logistique.fr | Fluvial | publié le : 28.03.2017 | Dernière Mise à jour : 01.04.2017

Trois ans après avoir mis en place une liaison fluviale dans la région de Strasbourg, le groupe Leonhart continue de militer pour une utilisation plus intensive de la voie d'eau. Mais ses projets sont contrecarrés par nombre de difficultés, dont l'état des canaux Freycinet.


Le groupe Leonhart, un fabricant de matériaux de construction bientôt centenaire, est un fervent défenseur du report modal. Depuis sa maison mère de Sélestat (Bas-Rhin), cette entreprise qui réalise 60 millions d'euros de chiffre d'affaires et emploie plus de 400 personnes continue de développer des alternatives à la route permettant de limiter l'engorgement des infrastructures routières alsaciennes.

3 ans d'études

C'est justement pour faire face à l'interdiction du transit de poids lourds instaurée sur la RN4 à Strasbourg que Leonhart a mis en place un premier trafic de substitution utilisant la voie d'eau il y a trois ans. Mais il avait fallu autant d'années pour le mettre en place ! Il consiste à transporter du laitier de haut fourneau, sous-produit de la sidérurgie recyclé en matériau de voirie, depuis l'aciérie allemande BSW à Kehl jusqu'à une plate-forme de déchargement située à Brumath.

Moins 4 000 à 5 000 camions chaque année

L'originalité de ce trafic est d'utiliser le canal de la Marne au Rhin, qui est une voie d'eau au gabarit Freycinet. La péniche utilisée ne peut, en conséquence, embarquer que 280 à 290 t de charge par voyage. Au rythme d'une rotation quotidienne en moyenne, elle supprime entre 4 000 et 5 000 circulations de poids lourds chaque année.

Ce trafic, qui a doublé pour s'établir à présent à près de 60 000 tonnes par an, est réalisé à coûts constants par rapport à la solution routière. Car si le coût est divisé par quatre en ne considérant que l'utilisation de la péniche, diverses taxes dont les droits de port au chargement/déchargement renchérissent considérablement le prix du transport.

Le seul investissement qu'a réalisé le groupe pour effectuer ce report modal a consisté en l'acquisition d'une pelle de déchargement à Brumath pour 200 000 €.

1 million d'euros d'investissements

Le groupe Leonhart n'entend pas se limiter à ce seul trafic, dont la fiabilité est présentée comme "impeccable". C'est pourquoi il a investi près d'un million d'euros sur le port autonome de Strasbourg en 2016 afin de s'équiper d'une pelle spécifique pour charger et décharger des rhénans. Il s'agit de péniches naviguant sur le Rhin et dont la charge varie entre 1 500 et 5 000 tonnes.

"Nous avons créé cette plate-forme pour l'activité recyclage mais plus encore pour celle relative aux terres polluées. Comme les gros centres de traitement se situent en Allemagne du Nord, Belgique et Pays-Bas, ce trafic pourrait rapidement atteindre les 50 000 tonnes par an. En attendant, nous avons déjà réceptionné, en provenance du port de Rotterdam, 20 000 tonnes de coke de pétrole. Là encore, ces acheminements pourraient atteindre les 50 000 t annuelles à très court terme", détaille Lucien Modery, responsable recyclage du Groupe Leonhart.

L'état des canaux pénalisant

En prolongement de sa première expérience réussie sur un canal Freycinet, le groupe Leonhart aurait souhaité ajouter une nouvelle desserte. Mais c'était sans compter sur l'état du canal reliant Strasbourg à Sarralbe (Moselle).

Des essais conduits en 2016 ont démontré qu'il était difficile de charger des péniches à plus de 250 tonnes. Or, la rentabilité de ce trafic potentiel ne peut être atteinte qu'avec des péniches chargées à 290 tonnes. Ce projet, qui aurait pu permettre de transporter entre 15 et 22 000 tonnes annuelles de matériaux recyclés et de granulats naturels entre Strasbourg et Sarralbe et retour, est donc reporté sine die.

Une liaison Rhône-Rhin au programme

En revanche, un autre projet pourrait avoir plus de chances d'aboutir car non lié à l'état de l'infrastructure empruntée. Il s'agit d'une liaison Rhône-Rhin entre le nord de Lyon et le port de Strasbourg.

"La mise en place d'une petite plate-forme lyonnaise pourrait permettre de faire transiter 15 000 tonnes de matériaux par an mais nous n'en sommes, pour l'heure, qu'au stade de projet. Nous avons aussi regardé la solution ferroviaire pour d'autres projets, dont celui de Sarralbe. Mais elle nous apparaît encore plus compliquée que la solution fluviale, les opérateurs ferroviaires n'étant pas forcément intéressés par l'acheminement de trafics non réguliers", conclut Lucien Modery.

http://www.actu-transport-logistique.fr ... 342776.php

Auteur:  bgmt [ 19 Aoû 2017 14h55 ]
Sujet du message:  sablier Michel DSR

Le sablier « Michel DSR » vendu aux Pays-Bas
Publié le 17/08/2017 10:42

La flotte sablière française continue de se réduire comme une peau de chagrin. Implantée à Donges d’où elle assurait l’extraction de sables marins avec une quinzaine de marins, la Compagnie européenne de transports de l'atlantique (Cetra) n’exploite désormais plus aucun navire.

Après avoir vendu en 2015 la drague de 78,8 mètres Moniflor à la société australienne Riverside industrial sands, l’armement vient de céder le Michel DSR, un sablier long de 85 mètres pour une capacité de 2 300 m3, construit chez Piriou et entré en service en 2010.

L’acquéreur n’est autre que la société néerlandaise Gebr. Van der Lee Dredging BV qui a déjà racheté en 2015 le Saint-Germain,un sablier de 75 mètres à la Société de transports fluviaux maritimes de l'Ouest (STFMO).

Ces transactions ont été assurées par la société de courtage concarnoise Atlantic marine services qui a également permis l’an dernier la vente du sablier de 58 mètres Côtes d’Armor, propriété de la Compagnie armoricaine de navigation (Can), à la société ukrainienne Black Sea Shipping.

La STFMO continue d'armer le Saint-Pierre, sablier de 84 mètres et 2 000 m3 de capacité, construit chez STX Lorient et entré en service en 2010. La Can (groupe Roullier) détient toujours le Côtes de Bretagne, sablier de 75 mètres.

Bertrand TARDIVEAU

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... x-pays-bas

Auteur:  bgmt [ 06 Juil 2018 12h42 ]
Sujet du message:  sablière de Vritz (44)

LafargeHolcim acquiert la sablière de Vritz
Par La rédaction, le 4 juillet 2018

LafargeHolcim renforce sa présence sur le marché du sable en Bretagne et Pays de Loire. Il a fait l’acquisition de la sablière de Vritz, une opération stratégique qui s’inscrit dans les 300 millions d’euros d’investissements prévus dans l’Hexagone d’ici à 2020 (stratégie 2020 « Building for growth).

La stratégie 2022 « Building for Growth» du groupe LafargeHolcim a pour but d’engendrer une croissance rentable à travers des acquisitions ciblées et génératrices de valeur.

Comme l’explique Bénédicte de Bonnechose, directrice générale de LafargeHolcim France : « L’acquisition de la sablière de Vritz, qui a un permis d’exploitation jusqu’en 2045, vient compléter notre dispositif local et pérenniser notre présence sur les marchés de la Bretagne et des Pays de Loire qui ont repris une croissance soutenue. Les sables de Vritz ont une qualité reconnue et approvisionnent de manière privilégiée les marchés du béton et du négoce en matériaux dans la région et nous avons l’ambition de développer cette activité.»

https://www.constructioncayola.com/terr ... itz-44.php

Auteur:  bgmt [ 20 Sep 2018 12h06 ]
Sujet du message:  CETRAMARIS

bgmt a écrit:
CETRA : Compagnie Europeenne de Transports de l' Atlantique ((CADDAC : Comptoir Atlantique Dongeois de Distribution et d' Approvisionnement de Construction) du 44 se rapproche de SABLIMARIS (GSM) du 29 sous le nom de CETRAMARIS pour l'exploitation sablière relocalisée sue l'anse Saint Marc à La Rochelle (17).

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